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Fanfiction Twilight n°1 écrite par Never Think

30 octobre 2010

Chapitre 5 : Amour et médaillon

Je me réveillai quelques heures plus tars. Il n'était plus là. J'entendais la musique de Cindy. Je descendais les escaliers en titubant. Avais-je rêvé ? Une douleur violente dans le bras me rappela que l'accident était réel. 
- Cathy mon cœur ! s'exclama Nelly en me voyant. Le Dr Cullen a dit que tu aurais un peu de stresse suite à l'accident. 
Elle continua à parler mais j'étais déjà ailleurs. Je ne pensais qu'à une seule chose : revoir Edward. Soudain, dans ses paroles j'entendis le nom « Cullen ».
- Excuse-moi ? Qu'est ce que tu as dis ? demandais-je, soudainement réveillée. 
- Alice Cullen à appelé. 
- Ah, marmonnais-je déçue. 
- Edward est passé aussi, cria Peter du salon.
- Pourquoi ? demandais-je le cœur battant.
- Il voulait prendre de tes nouvelles. Il a dit qu'il repassera.
Au mois, il repassera. On sonna à la porte, Sarah ouvrit. La porte du bois me cacha l'invité.
- Bonjour Edward Cullen, dit Sarah de sa petite voix d'enfant sage.
- Bonjour Sarah, répondit la voix musicale que j'aimais tant. Cathy est là ?
La façon dont il disais mon nom le rendait magnifique, bien que je l'eut entendis de la bouche de tant d'autre personnes. 
- Oui elle est là ! répondit Sarah.
Peter me rejoint. Edward entra. Je titubais vers lui, m'accrochais à Peter pour ne pas tomber. 
- Pourquoi es-tu descendu ? me dit-il soudain inquiet. Tu ne tiens même pas debout ! 
- Je suis descendue toute seule ! lui répliquais-je. 
- Donc, tu vas pourvoir remonter toute seule ! me dit-il en désignant les escaliers. 
- Je vais bien ! lui assurais-je. 
Il regarda ma main accrochée à Peter comme pour me contredire. Je lâchais prise et tentais un pas vers lui, grave erreur. Mes jambes ne me portaient plus et je m'écroulais. Plus vite que n'importe qui, Edward me rattrapa. 
- Non, dit-il. Tu ne pourras pas remonter toute seule.
- Tiens-moi, mais ne me porte pas ! lui ordonnais-je.
Avec un sourire malicieux il passa un de ces bras sous mes genoux et l'autre dans mon dos. Délicatement, il me souleva du sol.
- Qu'est ce que j'ai dit ! lançai-je furax.
Du haut de l'escalier, j'entendis Cindy pouffer. Edward monta les escaliers, entra dans ma chambre, me déposé sur le lit et ferma la porte. J'abaissais mon bouclier pour lui montrer ma colère.
- A ce point ? dit-il, un sourire au coin des lèvres.
- Je vais vivre l'enfer par ta faute !
Il s'approcha, s'assit sur mn lit et colla son front contre le mien.
- Je voulais dire : Tu m'aime à ce point ?
Soudain, je pris conscience de notre proximité et de mon odeur alléchante. 
- Sa va, me rassura-t-il. Je résiste à ce genre d'envie. Je suis presque immunisé contre ton odeur. 
Il ferma les yeux, j'en fis de même.
- Je t'aime, murmurais-je.
Nous restâmes ainsi pendant plusieurs minutes. Je sentais son odeur, enivrante. Il sentait la mienne, appétissante. Je sentais sa peau, glacée. Il sentait la mienne, chaude. 
Je posais ma main sur sa poitrine et la laissa glisser sur sa chemise ivoire. Ma respiration était saccadée, la sienne était calme. J'essayais de caller la mienne sur la sienne. Je sentis ses lèvres se poser sur les miennes. Je n'osais plus respirer. Il retira ses lèvres :
- Cathy, respire.
J'obéissais et je l'embrassais. Mes mains enlacèrent son cou. Je m'approchais de lui, me collant contre son torse. Ses mains aux longs doigts fins enlacèrent ma taille. Et il me rendit mon baiser. J'en oubliais même Moon qui grattait et aboyais à la porte. Notre baiser terminé, j'ouvris la porte et Moon entra en se dandinant. Elle regarda Edward, puis moi. Elle sauta sur mes genoux et me lécha le visage en couinant. 
- Elle pleure, expliquais-je. Qu'est ce que tu as mon trésor ?
- Elle a peur que tu l'abandonne pour moi, me dit Edward.
Je n'arrivais pas à y croire ! Après tout ce qu'on avait vécu ! Comment pouvait-elle penser une telle chose ! 
- Quoi ?! Mais Moon ! Jamais je ne t'abandonnerai ! 
Moon, soulagée, s'allongea (ou s'affala pour être plus exact) entre nous. Elle poussa Edward avec ses pattes arrière.
- Mais, dis-je lentement, tu dois me laisser un peu d'intimité.
Elle se leva et parti par la fenêtre. 
Edward plaqua ma tête contre son torse. Il plongea vers mi. Notre baisé fut plus passionné que le dernier. Mon cœur s'accéléra. Je savais que cela rendait mon odeur plus enivrante. Avant que j'eus réussit à me calmer, Edward s'éloigna de moi à vitesse inhumaine pour aller se plaquer contre le mur, de l'autre côté de ma chambre. 
- Je suis désolé, murmurais-je.
- C'est moi.
Son visage était marqué par la culpabilité. Sa culpabilité me rappela la mienne. Ma mère tuée par mes dents, les Denali abandonnés. Mes larmes embuèrent mes yeux et coulèrent.
Edward s'assit à côté de moi. Il posa ses lèvres sur ma joue, sur une larme, comme pour la boire. Je restais immobile, les yeux fermés, pendant qu'il répétait l'opération avec chacune de mes larmes.
Il s'allongea peu à peu sur moi, ses lèvres collées aux miennes. Je m'allongeais totalement sur le lit laissant son corps de dieu prendre possession de moi. Si il aurait voulu boire mon sang, jamais il ne s'y serait mieux pris.
Je sentis mes forces m'abandonnée, la fatigue avait eut raison de moi.
- Dors ma princesse, murmura-t-il à mon oreille.
Il chantonna une berceuse que je ne connaissais pas. Mes yeux se fermèrent et je sombrais. 

Je me réveillai le soir même. Je descendis les escaliers.
- Cathy ma douce ! s'écria Helena.
Elle avait les cheveux attachés avec un ruban rouge, assorti à son gilet sous lequel était caché un T-shirt blanc, de même couleur que le pantalon.
- Je vais bien, la rassurai-je. 
- Edward a dit qu'il reviendrait, dit Sarah derrière moi. 
Elle ressemblait à une princesse dans sa tenue de danse rose et blanche, et ses cheveux dorés qui lui tombaient dans le dos. Puis j'aperçus un médaillon suspendu à une chaîne en or autour de son cou. C'était une Rose, de couleur rose, sur une feuille en or. 
- Qui t'as donné ce bijou mon cœur ? lui demandais-je. 
- Tout à l'heure, raconta Sarah, Edward est venu avec sa maman. Elle a parlé avec moi et je lui ai montré comment je dansais. Et pour me félicité elle me la donné !
Sarah semblait très fière de sa récompense. 
- Et comment est-elle Mme Cullen ? demandais-je à Nelly.
- Elle est très gentille et très distinguée, répondit-elle.
- Et très belle, renchérit Cindy.
- Et heureuse en ménage, ajouté Peter. Lorsque Nelly lui a parlé du toubib (Nelly nous tourna le dos et s'engouffra dans la cuisine.) Esmée, c'est son prénom, nous a dit que Carlisle était un bon mari, un bon père, serviable et qu'elle ne s'est jamais lassé de lui-même après plus de 80 ans de mariage ! 
Je montais dans la salle de bain. Mon corps était couvert de bleus. 
- Un peu de fond de teint ? me dit Cindy.
- Pas la peine, murmurais-je. Demain tout aura disparut. 
Je me sentais apte à chasser et de toute manière j'en avais besoin.
Quelques cerfs et renard plus tard, je rentrai au Manoir. Je me mis au lit et m'endormis, le souvenir d'Edward à l'esprit. 

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30 octobre 2010

Chapitre 3 : Belle amitié en perspective et Sentiments Nouveaux

Cette nuit-là, je n'ai vu que son visage en rêve. Impossible de voir autre chose. Je sais que c'est stupide, mais j'avais besoin de le revoir. C'était la première fois que cela m'arrivait : j'avais besoin de voir Edward Cullen.
Je n'étais qu'à moitié concentrée sur la route. En fait je ne voulais pas allé au lycée. Aujourd'hui, il fait un temps magnifique, le soleil était au rendez-vous. Donc, à cause de leur peau qui scintillait au soleil, les Cullen ne viendraient pas, donc Edward ne viendrai pas. Le lycée sans lui était inimaginable.
La journée était fade. Cours normaux. Rien de spécial. La table des Cullen à la cantine était vide ce midi. Je n'avais pas seulement perdu mon jouet.
Le soir, comme à son habitude, Moon m'attendait dans la voiture. Un morceau de papier était coincé sous son collier. Je m'en emparai et le garda cacher dans ma main.
- Alors, me lança Cindy, Cullen ne t'a pas manqué aujourd'hui ?
- Non ! Pas su tout ! Notre relation n'a rien d'amicale, alors pourquoi m'aurait-il manqué ?
- T'étais maussade aujourd'hui, remarqua Peter. Tu avais l'air triste.
- Quoi ?! J'étais fatigué ! Et je ne suis pas triste quand il n'est pas là ! Je m'ennuie, je n'avais plus mon jouet aujourd'hui ! Je me suis ennuyé !
- Je crois, enchaina Cindy, que tu te mens à toi-même.
- C'est n'importe quoi ! Je ne... Je ne suis ni amoureuse ni amie de Edward Cullen !
- Tu as déjà dis ça hier ! s'exclama a Peter.
- C'est parce que c'est vrai !
Moon aboya pour montrer sa désapprobation. Je relevai brusquement un genou pour lui faire comprendre de se taire. La conversation écrite de la veille n'avait rien d'amical. Ce n'était que des excuses. Je me rappelai soudain le papier caché dans ma main. Je cachai mes joues rougies derrière mes cheveux.
- Tu rougis petite sœur ? me dit Peter.
Il l'avait dit calmement, avec sa voix naturelle. Elle était douce et sensuelle. 
- Non, murmurai-je.
- Allez les gosses ! lança Peter, toujours avec calme. On arrête les conneries ! Et puis, les Cullen sont comme les Denali, y'a rien à craindre ! 
Je ne relevai pas. La fatigue prit le dessus.
Au Manoir (mon habitation) chacun reprit son occupation.
Je montai dans ma chambre, m'enfermai et dépliai le papier :

Cathy,
Les conditions météorologiques m'ont empêché de venir au lycée. Cela est dommage, car j'aurais voulu continuer notre petite conversation d'hier. Je l'ai trouvée très intéressante. J'espère que le temps sera plus clément demain.
Amicalement.
Edward

Je pris le premier stylo qui me vint. J'aperçus le papier sur lequel il y avait écrit Bonne Nuit. Un mélange de sentiments s'emparait de moi. Sans réfléchir, j'écris : 
Edward,
Moi aussi je l'espère. Notre conversation était très instructive. Pour être honnête, mon jouet m'a beaucoup manqué aujourd'hui.
Amicalement.
Cathy

Je repliai le papier et Moon partie comme une flèche. J'eus une envie de la suivre pour voir à quoi ressemblai la demeure de mon correspondant.
Moon revint :
Cathy,
Dois-je comprendre qu'il y a une belle amitié en perspective ? Je le souhaite sincèrement. Ainsi, je pourrais te prouver que je ne pas comme ton père. En fait, je veux te prouver qu'aucun des Cullen n'est comme lui.
Amicalement.
Edward 

Durant toute la lecture je ne cessai de sourire. Mon cœur se réchauffait à son nom. Mon visage s'illuminait à la vue du sien. A chacune de ses lettres, de ses paroles, lorsque je sentais son odeur, un sentiment nouveau m'envahissait.
Je retournai le papier et y inscrit :
Edward,
Une amitié serait en effet possible. Après avoir parlé avec toi l'autre jour, je ne doute plus que les vampires ne sont pas modelés sur le modèle de mon père.
Très Amicalement.
Cathy

Sarah passa la tête par la porte au moment où Moon partait :
- Nelly veut te parler.
Je fus d'abord surprise puis je me doutai que Cindy lui avait raconté ses interprétations de ma relation avec Edward.
Je sortis de ma chambre, traversai le couloir et frappai à la porte du bureau.
- Entre Cathy !
J'entrai.
- Tu m'as demandée Nelly ?
- Oui. Il parait que tu discute avec un vampire ? 
Sans problème je sentais l'odeur de Cindy. Elle était passée dans le bureau. Je soupirai.
- Oui, je discute parfois avec Edward Cullen. Nous sommes voisins en biologie.
- Tu discute avec un Cullen ?
Elle était apparemment agréablement surprise. Elle se plongea dans de longues réflexions. Sarah restait à la porte, elle regardait la scène.
- Bien ! lança Nelly. Est-ce que ses parents sont au courent ?
- Je ne sais pas. (Soudain, je compris) Je croyais que tu étais immunisée contre cette légende !
- Je ne vois pas de quoi tu parle !
- Tu es allée à l'hôpital récemment ?
- Oui.
- Tu es tombée sous le charme de Dr Cullen !
- Non !
Des rires provenaient de derrière la porte. Sarah l'ouvrit. Peter, avec Jack dans les bras, Cindy et John étaient là, en train de rire.
- C'est n'importe quoi ! cria Héléna. Retournez à vos activités !
Nous ordonner de retourner à nos activités était le seul moyen pour Héléna de nous dire de la laisse.
Cindy descendit dans le salon pour regarder sa série quotidienne, Peter et John retournèrent faire la course avec Jack et Sarah partie vers la salle de danse pour danser. Je retournai dans ma chambre.
Moon m'attendait, assise sur mon lit :
Cathy,
Je suis heureux de t'avoir ouvert les yeux. Alice affirme demain le temps ne sera pas ensoleillé. Alors on pourra se voir, avec toi je peux enrichir mes connaissances sur les hybrides. Je suis curieux de mieux te connaître étant donné qu'avec ton bouclier je ne peux pas le faire avec mon don.
De plus, je suis déterminé à te faire baisser ton bouclier !
Très Amicalement.
Edward

Je retournai le papier et répondis :
Edward,
Même si tu fais usage de ton charme vampirique, jamais j'abaisserais mon bouclier. Je suis sur que tu seras toujours en conception d'un plan pour arrivé à tes fins, mais je ne cèderais pas !
Le début d'une amitié normal ne ce fait pas à travers un pari, mais nous ne sommes pas normal n'est-ce pas ?
Très Amicalement.
Cathy

Il était minuit lorsque Moon revint. Apparemment, Edward avait pris en compte ma remarque de la veille, car les deux seuls mots qui étaient écris étaient :
Bonne Nuit
Je m'endormis, pressée d'être le lendemain.

30 octobre 2010

Chapitre 4 : Accident et Révélation

Le jour traversa les rideaux. J'ouvris un œil. Je roulai sur le côté. Moon tomba su lit et couina. Je m'habillai (haut vert avec un jean et des converses vertes) et descendis les escaliers pour rejoindre le reste de la famille dans la cuisine. En passant devant le réfrigérateur, j'aperçus l'inscription :

Vendredi :
RDV hôpital
16h


« Les humains et la santé ! » me dis-je.
Je m'assieds entre Sarah et Nelly.

- Tu as rendez-vous aujourd'hui Nelly ? demandai-je.
- Oui, il faudra que tu ailles chercher Sarah à l'école.
- Ok. Peat, prends ta voiture pour le retour.
- Ça marche. J'ai l'impression que Moon fait beaucoup d'aller-retour vers l'ouest, ces derniers temps.
- Je ne vois pas ce que tu veux dire, enchainai-je.
Cindy gloussa. L'intéressée descendit les escaliers en se dandinant.
- Elle est peut-être tombée amoureuse ! supposa Sarah avec son innocence habituelle.
- Ou peut-être que se n'est pas elle l'amoureuse ! intervint Peter.
- Cindy arrêtes d'utiliser mon chien !
Je n'avais pas trouvé mieux comme explication. Cindy n'en serai pas à son premier petit ami. Moon glapit.
- Je crois, interpréta Peter, que Moon n'est pas d'accord avec toi, petite sœur !
Sarah renifla le chien
- Ça sent le vampire !
- Aha ! s'exclama Peter avec un air de vainqueur. Elle va chez des vampires ! Et les seuls vampires ici sont...
Je tournai les talons.
- LES CULLEN !
Encore une fois, Peter et Cindy avaient fait preuve d'une parfaite synchronisation. 
- On va être en retard, lançai-je. John et Cindy vous irez dans la voiture de Peter. Il doit la prendre et vous allez me déconcentré.
Ils partirent avec une bonne longueur d'avance. Je pris un détour pour me laisser le temps de me calmer. Pendant le trajet, j'essayais de rester concentré sur la route. Cela me parut impossible : plus je me rapprochai du lycée moins j'arrivai à rester concentrée.
Une voiture arriva à toute vitesse en face de moi, dérapa sur une plaque de verglas. Je la vis arriver sur moi, pousser la voiture dans le fossé, et puis, plus rien.


Je me réveillai à l'hôpital.
- Génial, gémis-je.
- Vous avez eût un grand choque Mademoiselle Whoman.
C'était certainement la voix la plus sexy que je n'ai jamais entendu de mon existence. J'ouvris les yeux. Le teint pâle, les yeux or, beauté presque imbattable, cheveux blond parfaitement coiffé en arrière.
- Dr Cullen, dis-je faussement surprise.
Soudain, le début de journée me revint.
- Vous avez appelez Héléna ?
- Elle est à la cafétéria.
- Elle est morte de trouille n'est-ce pas ?
- Et elle n'est pas la seule.
Je fis une tentative pour me relever, inutile.
- Peat ?
- Entre autre.
- Cindy ?
- Aussi
- John ?
- Sarh et Jack aussi. Mais ce n'est pas tout.
Carlisle arborait un large sourire.
- Edward, murmurai-je.
- On a appelé au lycée pour avertir vos frères et sœur, à la demande de votre tutrice, et à ma grande surprise, mon fils était avec eux.
- Quel crétin masochiste...
- Je ne l'ai jamais vu aussi inquiet.
- Pardon ?! (Je me relevai tellement vite que j'avais la tête qui tournait)
- Je vous assure !
- QUEL IMBÉCILE ! JE N'AI PAS BESOIN DE LUI ICI !
Mon hystérie déclenché les rire du médecin (lui aussi masochiste j'en suis sûr).
Héléna toqua à la porte et entra. Ses cheveux gris lui tombaient sur les épaules et la peur marquait ses rides.
- Je vais bien, assurai-je.
Peter, Cindy, Jack, Sarah et John suivirent. Edward resta à la porte. Lorsqu'il me vit, il sourit, soulagé. Il jeta un coup d'œil à son père et étouffa un rire. Il rentra et ferma la porte.
- Cela ne vous énerve pas à force ? demandai-je à Carlisle.
- Pardon ?
- Que votre fils vous espionne par télépathie.
- Pas cool pour l'intimité, renchérit Peter.
- L'habitude, répondit le médecin.
- Vous êtes maso ou gourmand ? demanda John. Parce que pour faire ce métier alors que vous êtes...
- Ni l'un ni l'autre, le coupa le docteur. Je veux juste aider mon prochain.
- Maso, souffla Edward si bas que seul Carlisle Sarah et moi entendîmes.
J'étouffai un rire et Carlisle de tourna vers son fils, ce dernier hocha les épaules aire de dire « j'ai fait quoi ? ».
Je cessai de le regarder. Mon cœur s'emballerai et tout le monde pourrait l'entendre avec ce foutu électrocardiogramme. Je laissai mais tête retomber sur l'oreiller.
- Je pense qu'elle doit se reposer, intervint Carlisle. 
Tout le monde sortit. Pourquoi ? Pourquoi lui ? Pourquoi quelqu'un comme ça ? Un vampire ! Je suis amoureuse d'un vampire ! Un comme mon père !
Les larmes coulèrent sans s'arrêter. Je me retournai dos à la porte pour que personne ne me voie dans cet état.
Je ne voulais pas y croire. Pourtant la vie sans Edward me semblait inimaginable. J'abaissai le bouclier, espérant pour qu'il tente de décrypté mes pensées. J'étais perdu, des milliers de questions émergeaient dans mon esprit. Répond à mes questions Edward ! Que s'est-il passé ? Où est passé Cathy-La-Haine-Des-Vampires-Personnifié ? Comment en est on arriver là ?
Edward entra.
- J'ai baissé...
- Je sais, me coupa-t-il.
Je me sentis rougit, mon cœur s'accéléra, l'électrocardiogramme s'affola.
- Pourquoi tu culpabilise autant ? 
Sa voix était inquiète, son visage aussi.
- Pardon ?
- Tu culpabilises à cause de ta mère. Ce n'est pas de ta faute ! (il s'assied sur mon lit) Ne sacrifie pas notre amitié a cause de ton père.
- Notre amitié ? chuchotai-je. Regardes ou lis ailleurs ! Outre passe ma culpabilité ! S'il te plait !
Les larmes montèrent aux yeux, jusqu'à couler. Edward ferma les yeux. Quelques secondes passèrent. J'eus l'impression que ça durait des heures. Tout à coup, Edward ouvrit les yeux. Il était surpris. Il fixa la fenêtre, perdu dans ses pensés. Je baissai la tête.
Je sentis ses lèvres glacés sur mon front. Mon cœur s'accéléra. Je levai la tête. Il fixa l'électrocardiogramme, puis ses yeux plongèrent dans les miens. Je détournai le regard.
Il murmura à mon oreille « moi aussi ». Ma respiration cessa.
- Cathy? s'enquit Edward. Hey! Respire!
J'acquiesçai, et obéissais.
- Ne me refais plus jamais ça ! m'ordonna-t-il.
Nous rîmes. Carlisle toqua, entra. Edward et moi cessâmes de rire.
- Vos examens sont bons, commença-t-il, vos scan et radio aussi. (il me regarda) Vous avez repris des couleurs. Bref vous allez pouvoir rentrer chez vous.
- Bonne nouvelle, enchaina Edward. Je peux la raccompagné, ce n'est pas un problème.
Carlisle me regarda, puis Edward, et vice-versa.
- Très bien. Anne-Lise ! appela le médecin. Ramenez-la à la sortie.
L'infirmière acquiesça. Elle m'emmena jusqu'à la sortie, Edward sur ses talons.
Edward m'installa dans la Volvo et prit le volant.
- C'était quoi ça ? m'écriai-je.
- Qu'est ce que tu raconte ?
- Tout ce cinéma face à ton père !
- Peter et les autres ont dut repartir en cours. Héléna avait un rendez-vous important et tu n'es pas en état de conduire.
- Les taxis existent !
- Tu fais des économies !
- Edward Cullen, tu es un imbécile !
- Je t'aime.
- La question n'est pas là !
J'étais furieuse. Je ne voulais pas que tout le monde soit au courent. Lui, s'amusait. Je laissai ma tête retombée sur le fauteuil.
- Sa va ? s'enquit-il.
- Je suis fatiguée. Ton père a dit que j'ai besoin de repos !
Nous fûmes vite arrivés au Manoir. A peine fut-il sorti de la voiture qu'il m'ouvrit la portière. Ile me prit dans ses bras.
- Lâches-moi !
- Non.
- Edward !
- J'ai besoin des clefs pour ouvrir.
- Non ! Lâches-moi !
Il me regarda, me sourit. Je laissai tomber. Je lui tendis mes clefs. Il ouvrit la porte d'un geste vif et rapide. Il me monta dans ma chambre et me déposa délicatement sur le lit. Il m'embrassa le front.
- Je t'aime, murmura-t-il.
Je fermai les yeux et m'endormis. 

 

30 octobre 2010

Chapitre 1 Vampires et Humanité

Une petite ville : Forks. Son lycée. Sa cantine. Et moi : Cathy Whoman.
Catherine Marie Fohlan de véritable nom.
J'ai été adoptée par Héléna Whoman. Il y a une trentaine d'année.
Avec mes boucles brunes, mes yeux verts et mes joues roses, je semble une simple humaine de dix-sept ans.
Mais avec ma beauté, ma voix, mon aura envoutante, mon régime alimentaire (sang animal), ma force, ma vitesse et mon âge (je suis née en 1750) je ressemble à un vampire.
Effet, je suis un peu des deux. Ma mère est tombée enceinte d'un vampire dont je ne sais rien, sinon le nom de famille. Ma mère est morte en couche.
J'ai été élevé par un clan de vampire de Denali. Puis lorsque j'eus dix-sept ans, j'arrêtai de grandir, de vieillir. 
Je partis du clan avant de me retrouver chez Héléna.
Lors d'un voyage à Londres, je trouvai un chien. Il n'était pas comme les autres. Un vampire, on ne sait pas pourquoi, l'avait mordu et transformé.
Je l'ai recueillie et baptisée Moon. Elle me suit partout : elle m'attend dans la voiture pendant que je suis en cours ; elle reste couché près de moi, sur mon lit lorsque je dors.
Tout comme les vampires elle se nourrit de sang (animal), elle ne dort pas, elle est très rapide et très forte et son pelage drille comme mille diamants au soleil ; ses pupilles sont dorées quand elle n'a pas faim et noir encre lorsqu'elle est affamée.
C'est un petit Husky blanc et noir.
Quelques années après, Nelly (Héléna) adopta Peter. Deux grands yeux gris et une touffe brune. Il a le don de voir la véritable nature des gens : vampire, humain, hybride, loups-garous.
Maintenant il a dix-huit ans et plus aucun os intacts. Il m'énerve (pour sa c'est le champion) et quand je m'énerve je ne me contrôle plus !
Ensuit est arrivée Cindy. Elle fait de la télékinésie. Ses longs cheveux blonds lui tombent sur les épaules. Maintenant elle a quinze ans.
John était le suivent. Il a une force vampirique. A douze ans, avec ses cheveux roux, il fait plus de sport que permis.
Sarah et Jack ont rejoins notre famille en même temps. Sarah, cinq ans, a un odorat, une ouïe et une vue de vampire. Des cheveux blonds et des yeux bleus, pour faire craquer tous les cœurs. Jack, trois ans et demi, est très rapide, aussi rapide que Moon et moi. Sous sa touffe châtain se cache deux yeux couleur émeraude.
Mon don à moi est de deviner (ou sentir plutôt) les dons des êtres vivants, peu importe leur nature, et j'ai une sorte de bouclier télépathique.
Le collège et le lycée de Forks ont en commun la cafétéria. Le midi, Peter, Cindy et John mangent avec moi.
Nous mangeons toujours ensemble et nous ne nous mélangeons pas avec les autres élèves.
Nous ne sommes pas les seuls à être ainsi. Une autre fratrie fait la même chose. Nous les avions repérés et nous connaissons leur secret et leur don. Ils sont tous vampires. Il y a trois garçons et deux filles. Ce sont les enfants adoptés du docteur Cullen.
Il y a les deux ainés : Emmett, un grand brun athlétique, Rosalie : une belle (la plus belle) vampire femelle. Eux deux n'ont pas de don. Ensuite il y a Alice : une petite vampire femelle brune un peu menue. Elle a le don de voir l'avenir. Il ya Jasper, le blond, il n'est pas très à l'aise avec le sang humain. Il n'est pas au régime animal depuis assez longtemps.
Car, tous comme le clan de Denalie, Moon et moi, les Cullen ne se nourrissent que de sang animal.
Et, enfin il y a le dernier. Avec son visage d'Apollon et ses cheveux cuivré, il est nettement plus attirant. Edward Cullen. Ce nom fait chavirer toutes les filles des environs, les Whoman mises à part.
Il a le don de télépathie. Il est mon petit jouet du moment. Avec mon bouclier, il ne peut pas lire dans mes pensés, ce qui, je pense, le frustre. Je m'amuse à l'étendre le plus possible, mon bouclier. Lorsqu'il ne peut plus lire dans les pensés de ses frères et sœurs, il tape du poing sur la table.
Le plus drôle c'est le cours de biologie : par le plus grand des hasards, nous sommes voisins ! Je le sen se raidir, je l'entends inspirer, bref montrer sa frustration.
Lorsque je le sens affamé, je secoue mes cheveux pour que mon odeur alléchante lui parvienne de plein fouet.
La sonnerie retentie. Tout le monde se lève pour rejoindre sa salle de cours. Pour moi, c'est biologie ! 

30 octobre 2010

Chapitre 2 :Glace Brisée et Premières Correspondances

J'entrai dans la salle de biologie. Il était déjà installé à sa place. Je m'assis. J'aperçus des copaux de bois à ses pieds et un trou de la taille d'un doigt à la table.
- Si tu continue comme ça, tu n'auras plus de table.
Je murmurais si bas que les humains ne pouvaient pas m'entendre. Il sembla surpris que je daigne, enfin, lui adresser la parole.
- On se demande pourquoi je dois détruire ma table !
Sa voix était velouté et musical. E n'en ai jamais entendu de si belle.
- Tu es quoi exactement ? Tu n'es ni vampire ni humaine.
- Je suis les deux. Ma mère était humaine et mon père était vampire.
- Tu as quel âge ?
- Dix-sept ans.
- Depuis combien de temps ?
- Je te retourne la question.
- Tu faisais exprès d'étendre ton bouclier ?
- Pour être honnête, oui !
- Pourquoi ? demanda-t-il visiblement en colère.
- Je m'amusais. En plus de mon bouclier, je devine les dons des êtres.
- Tu as quelque chose contre les vampires ?
- Qu'est ce qui te fait penser ça ?
- Ton regard. Cela se voit que tu nous hais. Même là, tu me hais.
Nos visages étaient à quelques centimètres l'un de l'autre. Pourtant, ma haine semblait s'apaiser.
- Mon père était vampire. Il a abandonné ma mère. Et c'est à cause de lui que je suis un monstre.
- Mais tu as une part d'humanité. Une part d'âme.
- J'ai tué ma mère en naissant.
J'avais craché ces paroles. Lui, me regardai, avec plein de curiosité. Je me cachai derrière mes cheveux.
La conversation se prolongea dans le couloir. On se posa des questions par rapport à notre passé.
Il était né en 1901. Il mourait de la grippe espagnole en 1918 lorsque Carlisle, le fameux Dr Cullen, l'a trouvé et mordu.
Nous nous sommes séparé pour le cours d'après. Mathématiques pour lui, anglais pour moi.
Le cours d'anglais passa lentement.
A la sortie des cours je rejoignis ma voiture. Moon sauta sur mes genoux une fois que je fus installée au volant. Peter s'assied à côté de moi, Cindy et John s'installèrent derrière moi.
Lorsque je fis marche arrière pour sortir de la place de parking, une Volvo argent me barra la route. Sourire aux lèvres, Edward Cullen en était le conducteur. Il attendait ses frères et sœurs. Je reculais et mis un coup de pare-choc arrière dans la portière du passager de la Volvo, ce qui engendra l'hilarité du conducteur. 
- Mais qu'est ce qu'il nous fait Dracula ? s'écria Peter.
- Il s'amuse, répondis-je.
Le reste de la fratrie Cullen monta dans la voiture et nous fûmes libérés.
- Depuis quand il s'amuse avec nous ?
- Il s'amuse avec moi. Et il le fait depuis qu'il sait que moi je m'amuse avec lui.
- Et comment il l'a sut ?
- C'est quai cet interrogatoire inspecteur Whoman ?
- C'est louche, renchérit John. Je croyais que tu nous protégeais de son don !
- Je le fais ! Mais on a discuté en bio. On est voisin de paillasse.
- Edward Cullen ! s'écria Cindy. Un Vampire !
- On a discuté !
Je fixai la route pour ne pas croiser les regards curieux.
- C'était peut-être qu'une discussion amicale, me défendit John.
- Cathy ! Amie avec un vampire ! 
Les exclamations de Peat et Cindy étaient parfaitement synchronisés.
- On n'est pas amis ! C'est un vampire ! Comme mon père !
- Tous les vampires ne sont pas les même Cathy ! me dit Peter.
- Peat ! m'écriai-je. Ne commence pas à faire ton grand frère réconfortant ! C'est moi l'ainée !
- Je suis l'ainé !
- Je suis née en 1750 !
- Tu as arrêté de vieillir à l'âge de 17 ans !
- Cela ne change pas mon véritable âge ! Et je ne suis ni amoureuse ni amie de Edward Cullen !
Je me sentis rougir sous l'emprise de la colère.
Nous rentrâmes. Je montai les escaliers en bois qui menaient au couloir des chambres et du bureau de Héléna. Je m'enfermai dans ma chambre avec comme prétexte mes devoirs.
Je me souvins du cours de biologie. Nous étions si près l'un de l'autre et j'étais si bien. J'ai toujours sus résister au charme vampirique.
Tout à coup, Moon aboya de derrière ma fenêtre. Je ne m'étais pas aperçus qu'elle n'était pas rentrée. J'ouvris la fenêtre, elle entra dans la pièce en se dandinant. J'aperçus un morceau de papier coincé sous son collier. Lorsque je m'en emparai elle se retourna en un bon tout excitée. Je dépliai le papier. L'écriture était d'une calligraphie ancienne (pour les humains) :
Chère Cathy,
Je souhait sincèrement que le petit blocage de ce soir ne t'a pas trop énervé. Tu avais l'air furax en sortant du parking.
Si c'est ma petite plaisanterie qui t'as mis dans cet état, alors je m'en excuse.
Amicalement.
Edward Cullen

Je retournai le papier et écris au dos :
Cher Edward,
La raison de mon état n'était ta plaisanterie mais l'interrogatoire idiot de mon frère. Je ne sais pas si tes frères sont immatures, mais Peter, lui, l'est.
Amicalement.
Catherine Whoman

Je pliai le papier, le glissa sous le collier de Moon qui bondit par la fenêtre.
Je rêvassai lorsqu'elle revint, quelques minutes plus tard. 
Cathy,
Tu me rassures. Et pour ma part, Emmett est un véritable enfant ! Donc, je te comprends. Maintenant que ta haine envers moi semble moins grande, qui dirais-tu d'abaisser ce bouclier ? Il me frustre vraiment.
Amicalement.
Edward Cullen

Ma réponse fut assez brève, puisque je tombais de fatigue :
Edward,
Il est hors de question que j'abaisse mon bouclier ! Je m'amuse beaucoup trop avec toi ! Attends-toi à des surprises demain !
Notre correspondance s'arrête ici. Je tombe de fatigue. Sachez, monsieur, que je dors moi !
Amicalement.
Catherine Whoman

Moon partie. Je m'installai dans mon lit, et attendis son retour. Elle revint avec le message suivent :
Bonne Nuit 
Je m'endormis, Moon sur mes genoux.

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Fanfiction Twilight n°1 écrite par Never Think
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